
« Robert Fabre apparaît véritablement sur le devant de la scène politique [à la] suite [d’une] scission (celle du Parti radical en 1971) et qu’il en sort à l’occasion d’une rupture (celle de l’union de la gauche en 1978). (…) Après avoir refusé en 1971 la "dérive droitière" du Parti radical nouvellement conquis par Jean-Jacques Servan-Schreiber, il refuse en 1978 la "dérive collectiviste" que tente d’imposer à la gauche unie le Parti communiste de Georges Marchais, entre temps il est celui qui aura inscrit le radicalisme dans la...
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