
« Je suis (…) convaincu que si l’État doit rester fort, et ferme, il est d’abord garant de la paix publique. Fixer le cap et le tenir est une nécessité pour gouverner la France, mais aucune taxe ne mérite de mettre en danger l’unité de la Nation. Depuis le début du mouvement, quatre de nos compatriotes ont trouvé la mort. Plusieurs centaines de concitoyens, en particulier des membres de nos forces de l’ordre, ont été blessés. Des menaces et des insultes s’expriment sans retenue, contre les élus de la Nation et contre les gilets...
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