
« La vulnérabilité de personnes, jeunes et moins jeunes, en situation de dépendance et de fin de vie appelle non un geste de mort, mais un accompagnement solidaire. La détresse de celles qui demandent parfois que l’on mette fin à leur vie, si elle n’a pu être prévenue, doit être entendue. Elle oblige à un accompagnement plus attentif, non à un abandon prématuré au silence de la mort. Il en va d’une authentique fraternité qu’il est urgent de renforcer : elle est le lien vital de notre société. » (Conférence des évêques...
[Lire la suite]