
« Nous arrivons au terme de nos débats. Il est trois heures du matin (…). Nous sommes le 1er août et nous terminons l’examen d’un texte dont l’histoire retiendra qu’il s’est déroulé dans des conditions particulièrement rocambolesques. Nous l’avons dit et redit : on nous prive, sur un sujet aussi important, d’un vote solennel. Ce débat intervient au cœur de l’été, alors que nos concitoyens ont d’autres préoccupations, que la maladie menace notre pays, que la situation économique est celle que l’on connaît et que la...
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