
« Chacun de nous, à vingt ans, et parfois plus tard, a rêvé d’être roi. De détenir le pouvoir suprême, et de se sentir nécessaire totalement et surtout, naturellement. Ce moment où un être humain croit s’identifier à la volonté d’un peuple et à la permanence d’une nation, est-il de soleil plus haut et plus chaud ? » (Paris, 10 décembre 1992). Sur Jean-François Deniau, deuxième partie.Dans le précédent article, j’ai évoqué la figure du diplomate déjà baroudeur et du ministre à tout faire. Il fallait à Jean-François...
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