
« Je l'avoue d'emblée, je suis d'accord avec cette analyse : dans le choix d'un Président de la Cinquième République, le "rapport à l'imprévisible" est pour moi désormais un critère essentiel. Une longue succession de mandats présidentiels m'ont appris à ne plus croire ni promesses ni programmes. (…) Devant le programme d'un Président fraîchement élu se dressent aussitôt de nombreux obstacles (et c'est aussi vrai pour les pouvoirs de droite que pour les pouvoirs de "gauche"). Une majorité réticente, incertaine, divisée. Une...
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