
« Si nous contestons fermement les accusations dont nos contempteurs nous accablent, nous avons suffisamment de clairvoyance pour comprendre que la principale intéressée, madame Danièle Obono, ait pu se sentir personnellement blessée par cette fiction. Nous le regrettons et lui présentons nos excuses. À l’avenir nous maintiendrons la vigilance absolue dont doit faire preuve un journal comme "Valeurs actuelles", attaqué quotidiennement. » (Communiqué de "Valeurs actuelles", le 29 août 2020).Même le journal reconnaît la faute...
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