
« La gauche n’a-t-elle donc plus de bilan à assumer, comme si le retrait de François Hollande avait tout effacé comme une ardoise magique ? La France n’a-t-elle plus de problème avec le terrorisme islamiste, alors que celui-ci maintient une pression et une menace permanente sur notre pays ? N’y a-t-il plus de problème de chômage, de sécurité, de surendettement, d’excès de fiscalité et de charges, de pouvoir d’achat, d’éducation ? Rien ne me détournera des vrais enjeux de cette élection présidentielle. »...
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