mardi 27 août 2019

G7 à Biarritz : Emmanuel Macron consacré prince du multilatéralisme

« Tous nos défis sont mondiaux (…), tout cela, nous ne les réglerons qu’à l’échelle de la planète, de manière multilatérale. [Sinon], nous laissons la loi du plus fort l’emporter. (…) C’est [la règle du droit] qui nous a faits, c’est cela qui construit la paix dans la durée. (…) Aujourd’hui, plus que jamais, nous avons besoin du multilatéralisme (…). C’est la règle du droit, c’est l’échange entre les peuples, c’est l’égalité de chacune et chacun d’entre nous, c’est ce qui permet de construire la paix et de relever chacun de nos... [Lire la suite]
lundi 26 août 2019

Le Sommet du G7 à Biarritz du 24 au 26 août 2019

« Notre monde est à un moment de bascule et je crois que notre vocation à nous, Français, est d’être dans la proposition, l’inspiration, d’essayer de réduire les désaccords, de ne pas céder aux faiblesses du temps présent, d’avoir cet esprit de résistance qui fait se dire "il n’y a pas de fatalité". On doit se battre pour conduire les autres à se battre avec nous contre ces injustices ou ces absurdités. Alors, je vous promets, en votre nom, de faire le maximum pour mettre mes collègues d’accord sur ces sujets, pour qu’on arrive à... [Lire la suite]
dimanche 25 août 2019

L’ardeur diplomatique d’Emmanuel Macron

« Notre monde est à un moment de bascule et je crois que notre vocation à nous, Français, est d’être dans la proposition, l’inspiration, d’essayer de réduire les désaccords, de ne pas céder aux faiblesses du temps présent, d’avoir cet esprit de résistance qui fait se dire "il n’y a pas de fatalité". On doit se battre pour conduire les autres à se battre avec nous contre ces injustices ou ces absurdités. Alors, je vous promets, en votre nom, de faire le maximum pour mettre mes collègues d’accord sur ces sujets, pour qu’on arrive à... [Lire la suite]
jeudi 1 juin 2017

Emmanuel Macron et la fierté nouvelle d’être Français ?

« Il y a dans le processus démocratique et dans son fonctionnement un absent. Dans la politique française, cet absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n’est plus là ! On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d’y placer d’autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie française ne remplit pas l’espace. On le voit bien... [Lire la suite]