
« Les désordres que pourrait provoquer le déséquilibre de notre balance (monnaie, emploi, indépendance) seraient tels que la tentation serait bientôt irrésistible de fermer, sélectivement d’abord, puis plus largement, nos frontières. Ce n’est que par une action concertée mais rigoureuse de l’État, des entreprises et des travailleurs et non par un abandon de notre économie aux prétendues lois du marché que nous pouvons le mieux, que nous pouvons seulement affronter la concurrence extérieure sans risque d’être submergés. »...
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