
« Durant les longues semaines où, par un dernier prodige de vigueur physique et morale, le maréchal Foch a résisté pied à pied aux assauts de la mort, la France, refusant jusqu’au bout de le croire vaincu, n’a pas mesuré le vide que devait laisser dans le monde la perte de ce grand homme. Nous voici maintenant en présence de la douloureuse réalité, et, tout de suite, nous comprenons que la flamme qui vient de s’éteindre était une des plus ardentes et des plus pures qui eussent jamais leur éclat sur la terre. Comme beaucoup...
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