
« Quant à celui qui n’a pas faim de la Voie, pour qui elle n’est rien, ou toute méprisable, celui-là est prêt pour la cruauté majeure. Il ne le sait pas encore, peut-être, il est encore dans l’illusion de ses bons sentiments, de sa culture, de sa moralité. Il suffira d’un choc, peut-être léger, d’un glissement, d’un écart imprévu. Car il est prêt : fruit bon à cueillir par le premier démon qui imposera, à cet homme vide, sa loi de fer. » (Maurice Bellet, "La Voie", 1982). Première partie.C’est un petit peu étrange de...
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